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* [http://www.ish-lyon.cnrs.fr/commun/COMISH/DOSSIER9.html Jean-Baptiste Say : un républicain contre les bonapartistes et les royalistes, André Tiran, les petits-déjeuners de l'Institut des Sciences de l'Homme, février 2000]
* [http://www.ish-lyon.cnrs.fr/commun/COMISH/DOSSIER9.html Jean-Baptiste Say : un républicain contre les bonapartistes et les royalistes, André Tiran, les petits-déjeuners de l'Institut des Sciences de l'Homme, février 2000]
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* http://halshs.archives-ouvertes.fr/TRIANGLE_UMR5206/

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Έκδοση από την 00:55, 19 Δεκεμβρίου 2007

Πρότυπο:Voir homonymes Πρότυπο:Infobox Scientifique

Jean-Baptiste Say, (né à Lyon, le 5 janvier 1767 et mort à Paris le 14 novembre 1832), est le principal économiste classique français[1]; il était également journaliste et industriel français. Il est connu pour avoir élaboré la loi de Say (ou loi des débouchés).

Biographie

Famille et formation

La famille Say est une famille d'origine protestante, issue de l'arrondissement de Florac, en Lozère. Elle quitte la région avec la révocation de l'Edit de Nantes et fuit à Genève où nait le père de Jean-Baptiste Say le 7 mai 1739. Il retourne à Lyon où il devient l'employé d'un négociant, Castanet, né de parents protestants de Nîmes et dont il épousera la fille Françoise en 1765. Il pratique alors le négoce de soieries. Jean-Baptiste Say nait deux ans après leur mariage, le 5 janvier 1767. Il eut un frère, Horace, de deux ans plus jeunes.

Ses premières années d'existence se passent à Lyon, où son père lui fait dispenser une éducation relativement libérale, en particulier avec la volonté de soustraire ses fils à l'influence de l'Église et de son système d'éducation. C'est sans doute une des raisons pour laquelle Say ira en pension à Ecully pour y suivre les cours de deux italiens dont l'enseignement différait sensiblement des règles lourdes du cadre contrôlé par l'Église.

Le déménagement de la famille à Paris marque un tournant dans sa vie et il commence à 15 ans son apprentissage en travaillant comme grouillot dans une maison de commerce, du fait des revers de la fortune familiale.

Au gré de changements de fortune familiale, il peut finalement se rendre en Angleterre trois ans plus tard, accompagné de son frère Horace. L'objectif du voyage est de se former aux pratiques commerciales et à la langue anglaises. Il durera deux ans. Au cours de ces années 1785-1786 l'Angleterre connaît une de ses périodes de développement industriel les plus brillantes et Say est aux premières loges pour l'observer.

Son séjour s'achève brutalement quand son employeur meurt et il rentre alors à Paris. Clavière, un assureur, protestant Genevois comme son père, l'embauche comme employé de banque. Il a alors 21 ans.

En 1789, il écrit une courte pièce la tante et le prétendu, puis le Curé amoureux, pièce anticléricale qui sera représentée dans un théâtre du boulevard. Son activité d'écrivain de théâtre s'étendra jusqu'en 1795 où il écrit un opéra comique : les deux perdrix.

La Révolution française

L'entrée de Say dans la compagnie d'assurance de Clavière marque un véritable tournant dans sa vie. En devenant un des collaborateurs de Clavière il entre dans le groupe des Girondins et se rapproche de l'Atelier de Mirabeau. Il est alors à 21 ans un partisan enthousiaste de la Révolution française. Il est républicain et ne cessera jamais de l'être. Il va au cours de cette même période remplir des fonctions de grouillot (s'occupant des abonnements) dans le journal de Mirabeau qui est le Courrier de Provence. C'est chez Clavière que Say lira pour la première fois en anglais la Recherche sur la nature et les causes de la richesse des nations, publiée par Adam Smith en 1776.

La mort de Clavière et le développement de la Terreur marquent pour Say un nouveau tournant. Chamfort, Guinguené et Andrieux lui proposent de fonder une revue paraissant tous les dix jours et ayant une ambition encyclopédique : La Décade philosophique, littéraire et politique. Elle est fondée le 10 Floréal, an II. Say contribue à la revue en rédigeant des articles de circonstances sur les questions littéraires, de théâtre, de poésie ou de compte-rendus d'ouvrages. Il conservera la fonction de la rédaction générale jusqu'à sa nomination au Tribunat. Les références que Say utilise dans la Décade témoignent de son expérience personnelle et de ses liens avec la culture anglo-saxonne. Il se réfère plus facilement à Swift ou à Franklin qu'à Rome ou Athènes.

Industriel sous l'Empire

Say débuta en tant qu'employé dans une Banque parisienne dirigée par Clavière (qui deviendra par la suite ministre des finances). En 1803, il publia son œuvre la plus connue, "Traité d'économie politique". Napoléon Bonaparte lui demanda de réécrire certaines parties de son traité afin de mettre en avant l'économie de guerre basée sur le protectionnisme et les régulations. Le refus de Say l'empêcha de publier une seconde édition du traité, et il fut revoqué du Tribunat en 1804, après avoir passé quatre années à la tête de la section financière.

JB. Say industriel à Auchy

L'élimination du Tribunat contraint JB. Say, dés lors qu'il n'accepte pas de se laisser acheter par le régime et d'occuper le poste de directeur des droits réunis de l'Allier à chercher un autre moyen d'existence. En effet les dispositions prises par Bonaparte lui interdisent toute activité comme journaliste, sa 2° édition du Traité est interdite. L'Empire va donc être pour lui et ses compagnons de la Décade une longue traversée du Désert. Mais il est le seul qui fasse une réorientation aussi radicale et qui prenne autant de risques. Sans doute à partir de ce moment là est-il amené à renouer des liens plus étroits avec ses relations protestantes et genevoises avec lesquelles au reste il semble qu'il ne se soit jamais brouillé. Il va préparer son expérience d'industriel avec soin en apprenant d'abord à manier les machines des métiers à tisser qui se trouvaient dans les murs du conservatoire des arts et métiers et qui avaient été ramenés par les armées de la Révolution pour certaines. Il fait son "apprentissage avec son fils Horace. Que JB Say ait tenté sa chance du côté de la production de coton cela correspond à une situation dans laquelle les débuts de l'Empire sont marqués par le vrai démarrage de cette industrie qui va peser d'un poids important par la suite dans l'industrie française et dans la définition de la politique commerciale extérieure de la France.

Le financement de son entreprise lui est fourni par Isaac Jules Grivel qui s'était associé avec Étienne Delessert pour l'achat de l'abbaye d'Auchy dans le Pas-de-Calais. Les travaux d'aménagement furent considérables puisqu'il fallut utiliser une chute d'eau importante pour actionner la machine hydraulique et ensuite aménager une route pour transporter les produits. C'est à cette occasion après les travaux de mécanicien, d'ingénieur et d'architecte qu'il entrera en contact avec une main d'œuvre directement issue de la paysannerie . Nous ne savons pas si dans la filature de J.B. Say il y avait des enfants comme employés, bien que cela soit probable mais ce qui l'est moins ( aucun documents que nous avons pu consulter ne porte une telle mention), c'est qu'il ait utilisé les enfants des hospices.
La filature débuta avec 80 ouvriers à des métiers qu'actionnait un moteur hydraulique, l'affaire se développa rapidement et 1810, accrue de bâtiments nouveaux, la manufacture occupait 400 ouvriers[1] ; on y filait 100 kilos de coton par jour, le bénéfice réalisé était de 10 francs par kilo soit 300 000 francs par an dont un tiers passé à l'entretien des mécaniques. En 1810 toujours, le préfet du Pas-de-Calais désigna Say pour participer à un conseil des fabriques et manufactures.

A l'appui de sa proposition, il écrit à propos de J.B. Say : "Très actif et très laborieux, il pourrait se déplacer pour assister aux séances à Paris mais avec peine car il est l'âme de cet établissement ; il a reçu une éducation soignée ; il fut tribun et coopérateur d'un ouvrage périodique ; il s'énonce et écrit bien ; il jouit d'une fort bonne réputation ; cet établissement, qui subsiste depuis plus de cinq ans, va toujours croissant surtout depuis quatre ans que l'on y a adopté une machine hydraulique qui fait tourner la majeure partie des mécaniques. L'établissement sera doublé dans deux ans à en juger d'après les préparatifs que l'on remarque. " La question sociale le préoccupe même si c'est dans une optique paternaliste qu'il semble l'avoir abordée. Son ami Pyrame de Candolle rapporte que : " au lieu de payer ses ouvriers le samedi, il les payait le lundi. Il obtenait par là que leur solde servait pendant la semaine à nourrir leur famille et qu'il ne restait que l'excédent pour le cabaret du dimanche. " Dans des remarques éparses, J.B. Say se plaint de ce que les ouvriers de sa filature ne semblent lui avoir aucune reconnaissance pour tous les efforts qu'il fait dans une gestion fort différente de celle de ses concurrents. Et il dira à ce propos qu'il " est plus difficile de faire vivre 4 à 500 hommes, que de les faire tuer." C'est au cours de cette période d'activité industrielle dans le Pas-de-Calais qu'il est amené à intervenir en réponse à une enquête du gouvernement sur les mesures à prendre dans le cadre du blocus continental. Dans la lettre qu'il adresse au Préfet. À la question posée de savoir s'il convient " d'interdire l'importation en France des cotons filés étrangers " il répond par une argumentation détaillée en envisageant les différents cas de figure. Sa position n'est pas ce que l'on pourrait attendre : purement libre échangiste. Il distingue le cas des filatures qui produisent des cotons grossiers ( les filatures françaises ) des filatures qui utilisent les filets fins que les fabriques françaises ne produisent pas. Il propose donc des mesures qui permettent d'avantager les filateurs de coton grossier sans désavantager les filatures qui ont besoin des fils anglais. Il conclut : Il semble donc que pour rétablir l'équilibre et même pour procurer au fileur français un avantage qui peut exclure pour lui la concurrence au moins des Numéros, bas et moyens, il conviendrait de doubler et au-delà le droit ( de douane ) actuel. (...) Mais une mesure qui serait à la fois favorable à tous les genres de manufacture de coton, à tous les consommateurs et en même temps contraire aux ventes des étrangers, serait l'abolition du droit impolitique qui se perçoit à l'introduction en France des cotons en laine et qui est actuellement de 66 francs par quintal décimal. " A travers une argumentation serrée et habile, puisqu'elle tient compte de l'opinion protectionniste, ce qu'il propose, c'est en réalité une diminution générale des droits de douane sur les cotons avec le maintien de droits partiels.

Enseignant sous la Restauration

Il publia la seconde édition de son Traité après la première abdication de Napoléon en 1814. La restauration de la royauté lui permit d'être reconnu en France. Grâce à ses nombreux ouvrages d'économie politique, il fut invité à donner des conférences à l'Athénée Royale en 1816, et fut nommé, en 1819, professeur à la chaire d'économie industrielle au Conservatoire national des arts et métiers[2]. Cette même année il participa à la fondation de l'École Spéciale de Commerce et d'Industrie qui devint par la suite ESCP-EAP, puis en 1830, peu de temps avant sa mort, il fut nommé au Collège de France, où il occupa la première chaire d'économie politique[1]. Jean-Baptiste Say est mort le 14 novembre 1832 à Paris et enterré au cimetière du Père-Lachaise. À sa mort, il était l'économiste français le plus connu[3].

Pensée

Sur l'impôt:

  • « Pour encourager la pèche de la baleine, le gouvernement anglais prohibe les huiles végétales que nous brûlons en France dans les lampes à courant d'air. Qu'en résulte-t-il? C'est qu'une de ces lampes, qui coûte à un Français 60 francs par année, coûte 150 francs à un Anglais. C'est pour favoriser la marine et multiplier les matelots, dit-on, que chaque bec de lampe coûte aux Anglais 90 francs de plus qu'en France. En ce cas, c'est multiplier les matelots par le moyen d’un commerce où l'on perd : il vaudrait mieux les multiplier par un commerce lucratif. »
  • « Un ouvrier laborieux, m'a-t-on dit, avait coutume de travailler à la lumière. Il avait calculé que, dans sa veillée, il brûlait une chandelle de 4 sous et gagnait 8 sous par son ouvrage. Un impôt sur les suifs et un autre sur la fabrication des chandelles ont augmenté de 5 sous la dépense de son luminaire, qui est devenu ainsi plus coûteux que la valeur du produit qu'il pouvait éclairer. Aussitôt la nuit venue, l'ouvrier est demeuré les bras croisés; il a perdu les 4 sous que son ouvrage lui pouvait procurer sans que le fisc ait rien perçu au sujet de cette production. Une semblable perte doit être multipliée par le nombre des ouvriers d'une ville et par le nombre des jours de l'année. »

L'économie de l'offre

L'économie de l'offre, dans la tradition de Say, s'oppose à l'économie de la demande, qui est celle de Malthus et plus tard de Keynes.

Selon Say, c'est l'offre qui créait sa demande. Les consommateurs utilisent intégralement leur revenu. Pour créer de la croissance, il faut donc stimuler l'offre. Keynes, quant à lui, nous dit que c'est car il y a de l'offre qu'il y a de la demande : les crises de sur-production sont impossibles.

On doit à Jean-Baptiste Say la division tripartite qui est restée classique : production, répartition, consommation[1].

La Loi de Say

Πρότυπο:Article détaillé

La loi de Say, ou loi des débouchés, prévoit que « plus les producteurs sont nombreux et les productions multiples, plus les débouchés sont faciles, variés et vastes ». Dans une économie où la concurrence est libre et parfaite, les crises de surproduction sont impossibles. Il ne peut y avoir de déséquilibre global dans les économies de marché et de libre entreprise, il y a un équilibrage spontané des flux économiques (production = consommation, épargne = investissement). Say ne nie pas la possible existence d'excédents, mais les crises de surproduction ne touchent, pour lui, que certains secteurs et ne sont pas durables. Cette loi est parfois réduite à tort à la formule « toute offre crée sa propre demande ». Un meilleur résumé de cette approche serait : « on ne dépense jamais que l'argent qu'on a gagné ». Keynes critiqua cette loi en la considérant comme irréaliste

Œuvres

  • 1800 : Olbie, ou essai sur les moyens de reformer les mœurs d'une nation, Deterville.
  • 1803 : Traité d'économie politique ou simple exposition de la manière dont se forment, se distribuent et se composent les richesses, lre ed., Crapelet.
  • 1814 : Traite économie politique, 2c ed., Deterville.
  • 1815 : De l'Angleterre et des Anglais, Bertrand.
  • 1815 : Catéchisme économie politique ou Instruction familière qui montre de quelle façon les richesses sont produites, distribuées et consommées dans la société; ouvrage fonde sur les faits, et utile aux différentes classes d 'hommes, en ce qu'il indique les avantages que chacun peut retirer de sa position et de ses talents, lre ed., Crapelet.
  • 1818 : Lettre a Ternaux aine, dans Ternaux [1818], pp. 33-50
  • 1818 : Des canaux de navigation dans l'état actuel de la France, Deterville.
  • 1818 : De l'importance du port de la Villette, Deterville.
  • 1819 : Traite d'économie politique, 4e ed., Deterville.
  • 1820 : Lettres a M. Malthus sur différents sujets économie politique, notamment sur les causes de la stagnation générale du commerce, Bossange.
  • 1821 : Catéchisme économie politique ou Instruction familière qui montre de quelle façon les richesses sont produites, distribuées et consommées dans la société, 2e ed. Bossange.
  • 1824 : De la balance des consommations avec les productions, dans Say (1848) pp. 250-260.
  • 1825 : Examen critique du discours de M. MacCulloch sur L'économie politique, dans Say [1848] pp. 260279.
  • 1826 : Catéchisme économie politique, 3e ed., Aime André.
  • 1826 : De L'économie politique moderne, esquisse générale de cette science, de sa nomenclature, de son histoire et de sa bibliographie, Encyclopédie progressive vol. 1~ pp. 217-304.
  • 1826 : Traite économie politique, 5e ed., Calmann-Levy (1971).
  • 1826 : De la crise commerciale, Revue Encyclopédique, vol. 32~ pp. 40~45.
  • 1827 : Compte rendu de Malthus "Definitions in Political Economy", Revue Encyclopédique, vol. 33 pp. 494-496.
  • 1828 : Discours d'ouverture au cours économie industrielle, dans Say [1848], pp. 148-161.
  • 1828-1829 Cours complet économie politique pratique, ouvrage destine d mettre sous les yeux des hommes d 'État, des propriétaires fonciers et des capitalistes, des savants des agriculteurs, des manufacturiers, des négociants et en général de tous les citoyens L'économie des sociétés, Guillaumin et Cie (1852).
  • 1833 : Mélange et Correspondance économie politique, Chamerot.
  • 1848 : Œuvres diverses de Jean-Baptiste Say, Guillaumin.

Édition récente des oeuvres complètes de J.B. SAY

  • Traité d'économie politique, ou simple exposition de la manière dont se forment, se distribuent, et se consomment les richesses, T. 1-2, édition Variorum des 6 éditions, édité par C. Mouchot, Jean-Pierre Potier, Jean-Michel Servet. Paris, Philippe Steiner, André Tiran, Volume I des Œuvres complètes de J.-B. Say éditées par Emmanuel Blanc, Pierre-Henri Goutte, Gilles Jacoud, Claude Mouchot, Jean-Piere Potier, Michèle Saquin, Philippe Steiner et André Tiran Coordonnateur.
  • Œuvres morales et politiques, texte introduction et notes par E. Blanc et A. Tiran, Volume V des Œuvres complètes de J.-B. Say éditées par Emmanuel Blanc, Pierre-Henri Goutte, Gilles Jacoud, Claude Mouchot, Jean-Piere Potier, Michèle Saquin, Philippe Steiner et André Tiran Coordonnateur.
  • Leçons d'économie politique, texte introduction et notes par G. Jacoud et Ph. Steiner, Volume IV des Œuvres complètes de J.-B. Say éditées par Emmanuel Blanc, Pierre-Henri Goutte, Gilles Jacoud, Claude Mouchot, Jean-Piere Potier, Michèle Saquin, Philippe Steiner et André Tiran Coordonnateur.

Notes et références

  1. 1,0 1,1 1,2 1,3 Jean-Claude Derouin : Les grands économistes, 2006, PUF
  2. Les cours d'économie qu'il a donnés au CNAM ont été publiés dans "Cours d'économie politique pratique" (1828).
  3. "Say (Jean-Baptiste)", Encyclopédie thématique Universalis, Pierre-Louis Reynaud, 2005, p.3842.

Bibliographie

  • Schumpeter, J., History of Economic Analysis, 1954, Allen and Unwin.
  • Sowell, T., Say's Law: An Historical Analysis, 1972, Princeton University Press.

Voir aussi

Liens internes

Liens externes

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