Προέλευση:

• Révérend Dibdin, Angleterre, qui l’avait sans doute acquis en France (inscription en français au verso) ;
• donné par ce dernier à son ami Francis Douce (inscription en anglais au verso) ;
• Sir Samuel Meyrick qui le reçoit en héritage de Fr. Douce avec le Doucean Museum, 1834 (cité en 1836, cf. Adhémar : observation critique faite au sujet du cadre et de son inscription eyckienne ;
• portrait d’une demoiselle coiffée à la cauchoise, peint vers 1450, donc après Van Eyck) ;
• colonel Meyrick, sans doute un parent ou descendant du précédent (cité en 1857, comme école de Van Eyck) ;
• général A. W. H. Meyrick, sans doute le même Meyrick que précédemment ;
• sa vente (avec d’autres collectionneurs), Londres, Christie, 31 V 1902, n° 138 (Marie d’Anjou par Jan van Eyck) ;
• Dowdeswell, marchand d’art, Londres.
• Walter Gay (1856-1937), peintre américain établi à Paris à partir de 1876 (tableau cité en sa possession en 1907) ;
• don de sa veuve avec l’ensemble de la coll. réunie par lui, décembre 1937.
• Inventorié en 1938 (Inconnu de l’école française ou franco-flamande, début du XVe s. ;portrait présumé de Marie d’Anjou, femme de Charles VII).